Victor est entré dans le monde de l’horlogerie en 2000 grâce à Cartier (Villeret) qui proposait des formations internes. C’est par le biais de Joël Gueniat, le responsable de l’agence INTERACTIF de la Chaux-de-Fonds qu’il a pu se saisir de cette opportunité. Il a passé un examen chez Cartier qui avait révélé des aptitudes nettement supérieures à la moyenne. Cela avait surpris tout le monde, car c’était la première fois qu’il utilisait des outils d’horloger. En parallèle, il s’est inscrit au Cifom au Locle pour suivre des cours d’horlogerie. En 2002, il a obtenu un certificat de formation, délivré par le secrétaire général de la convention patronale, François Matile. Ensuite, il a travaillé pour le compte de Breitling où il a beaucoup appris sur les mouvements chronographes. En 2005, il quitte la Chaux-de-fonds pour aller vivre au Sentier où il a travaillé pour la prestigieuse Manufacture Jaeger-LeCoultre, durant 2 années. Après cette belle expérience à la Vallée de Joux, il poursuit son chemin vers Genève et travaillera pour le compte de la Manufacture Roger Dubuis, à Meyrin, durant 4 ans.
De 2011 à 2012, nous avons écrit son livre autobiographique (D’un cœur vide à une vie comblée).
Après avoir mis sur papier son parcours de vie très édifiant, il a été contacté par la société Romain Jerome et y a occupé le poste de chef d’atelier, de 2012 à 2020. La collaboration avec  Manuel Emch (CEO jusqu’à 2017) fut une expérience très enrichissante. 

Pour mon époux et moi, porter nos idées à l’existence et explorer des directions nouvelles sont un exercice que nous cultivons en famille.
Le projet VNG résonne dans notre coeur depuis longtemps et c’est en 2020 qu’il démarre. Nous sommes passionnés d’horlogerie. L’artisanat, le patrimoine et l’élégance sont les qualités qui reflètent le caractère et le savoir-faire de notre projet. Le style de VNG se veut classique-chic, car comme l’a dit André Rochette :                  

« La simplicité est le secret de la réussite. »

Léonie Ngolla