A propos

Notre histoire

Nous sommes Victor et Léonie Ngolla. Nous sommes mariés depuis 9 ans et nous habitons Prangins. Nous nous sommes rencontrés à l’église, car nous aimons Jésus-Christ et nous en sommes fiers. Nous sommes les heureux parents de 4 merveilleux enfants.

Nous sommes des personnes entières qui ne font rien à moitié.
Nous sommes complémentaires.
Nous apprécions partager nos idées pour tirer le meilleur de notre réflexion.
Nous aimons crĂ©er dans une quĂŞte d’excellence. C’est un point que nous avons en commun. Qu’est-ce qu’on peut amĂ©liorer, faire mieux que prĂ©cĂ©demment? Ces questions nous accompagnent dans notre parcours crĂ©atif. 

Notre histoire

Porter nos idĂ©es Ă  l’existence et explorer des directions nouvelles sont un exercice que nous cultivons en famille.

La marque VNG démarre le 27 février 2020 dans un désir commun. Nous sommes passionnés d’horlogerie. L’artisanat, le patrimoine et l’élégance sont les qualités qui reflètent le caractère et le savoir-faire de notre projet. Le style de VNG se veut classique-chic, car comme l’a dit André Rochette :                  

« La simplicité est le secret de la réussite. »

A propos

Parcours de victor

Victor est entré dans le monde de l’horlogerie en 2000 grâce à Cartier (Villeret) qui proposait des formations internes. A cette époque, il accomplissait ses obligations militaires (école de Sous-Officier et paiement de galon de Sous-Officier) à la place d’armes de Chamblon. 

Entre chaque ordre de marche, il effectuait des missions temporaires pour l’agence de placement INTERACTIF de la Chaux-de-Fonds. Voyant son cĹ“ur Ă  l’ouvrage, JoĂ«l Gueniat, le responsable de l’agence, lui proposa cette offre de Cartier qu’il avait reçue. Il a passĂ© un examen chez Cartier qui avait rĂ©vĂ©lĂ© des aptitudes nettement supĂ©rieures Ă  la moyenne. Cela avait surpris tout le monde, car c’était la première fois qu’il utilisait des outils d’horloger.

 

En parallèle Ă  son parcours professionnel et militaire, il consacrait beaucoup de temps Ă  sa première passion, le football. Il a Ă©tĂ© formĂ© au FC la Chaux-de-Fonds, il a fait partie des sĂ©lections neuchâteloises et des espoirs du FC Xamax, puis il a intĂ©grĂ© l’équipe première de la Chaux-de-Fonds. Devant faire un choix entre ces trois directions, il a dĂ©cidĂ© d’interrompre sa carrière militaire pour se concentrer sur le football et l’horlogerie. Il s’est inscrit au Cifom au Locle pour suivre des cours d’horlogerie. En 2002, il a obtenu un certificat de formation, dĂ©livrĂ© par le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de la convention patronale, François Matile.

Ensuite, il a travaillé pour le compte de Breitling où il a beaucoup appris sur les mouvements chronographes. Stratégiquement, c’était plus idéal car il jouait au FCC et Breitling était également à la Chaux-de-Fonds.
De 2005 Ă  2007 il est allĂ© vivre au Sentier oĂą il a travaillĂ© pour la prestigieuse Manufacture Jaeger-LeCoultre. Ce fut lĂ , Ă  nouveau, qu’il dĂ»t faire un choix dĂ©cisif, il avait intĂ©grĂ© l’équipe du FC Baulmes et des opportunitĂ©s de devenir joueur professionnel s’offrait Ă  lui. Ă€ son grand Ă©tonnement, la place de second qu’occupait l’horlogerie dans son cĹ“ur avait peu Ă  peu pris plus d’importance. ConseillĂ© par son entraĂ®neur de l’époque, Jochen Dries (international allemand), il dĂ©cida de raccrocher les crampons pour se concentrer exclusivement Ă  l’horlogerie devenue sa nouvelle passion.
De 2007 à 2011, il ai travaillé pour le compte de la Manufacture Roger Dubuis, à Meyrin, où j’ai été formé au poste de manager d’une équipe de production.
De 2011 à 2012, nous avons écrit son livre autobiographique (D’un cœur vide à une vie comblée).
Entre 2012 Ă  2020, il a occupĂ© le poste de chef d’atelier pour la sociĂ©té Romain Jerome oĂą il a beaucoup appris de Manuel Emch (CEO jusqu’à 2017). C’est Ă  son contact et dans leurs discussions, dit-il, qui prenaient souvent la forme d’enseignements, qu’il a pu grandir dans le leadership.

Victor Ngolla