A propos
Parcours de victor

Victor est entrĂ© dans le monde de l’horlogerie en 2000 grâce Ă Cartier (Villeret) qui proposait des formations internes. A cette Ă©poque, il accomplissait ses obligations militaires (Ă©cole de Sous-Officier et paiement de galon de Sous-Officier) Ă la place d’armes de Chamblon.Â
Entre chaque ordre de marche, il effectuait des missions temporaires pour l’agence de placement INTERACTIF de la Chaux-de-Fonds. Voyant son cĹ“ur Ă l’ouvrage, JoĂ«l Gueniat, le responsable de l’agence, lui proposa cette offre de Cartier qu’il avait reçue. Il a passĂ© un examen chez Cartier qui avait rĂ©vĂ©lĂ© des aptitudes nettement supĂ©rieures Ă la moyenne. Cela avait surpris tout le monde, car c’était la première fois qu’il utilisait des outils d’horloger.
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En parallèle Ă son parcours professionnel et militaire, il consacrait beaucoup de temps Ă sa première passion, le football. Il a Ă©tĂ© formĂ© au FC la Chaux-de-Fonds, il a fait partie des sĂ©lections neuchâteloises et des espoirs du FC Xamax, puis il a intĂ©grĂ© l’équipe première de la Chaux-de-Fonds. Devant faire un choix entre ces trois directions, il a dĂ©cidĂ© d’interrompre sa carrière militaire pour se concentrer sur le football et l’horlogerie. Il s’est inscrit au Cifom au Locle pour suivre des cours d’horlogerie. En 2002, il a obtenu un certificat de formation, dĂ©livrĂ© par le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de la convention patronale, François Matile.
Ensuite, il a travaillé pour le compte de Breitling où il a beaucoup appris sur les mouvements chronographes. Stratégiquement, c’était plus idéal car il jouait au FCC et Breitling était également à la Chaux-de-Fonds.
De 2005 Ă 2007 il est allĂ© vivre au Sentier oĂą il a travaillĂ© pour la prestigieuse Manufacture Jaeger-LeCoultre. Ce fut lĂ , Ă nouveau, qu’il dĂ»t faire un choix dĂ©cisif, il avait intĂ©grĂ© l’équipe du FC Baulmes et des opportunitĂ©s de devenir joueur professionnel s’offrait Ă lui. Ă€ son grand Ă©tonnement, la place de second qu’occupait l’horlogerie dans son cĹ“ur avait peu Ă peu pris plus d’importance. ConseillĂ© par son entraĂ®neur de l’époque, Jochen Dries (international allemand), il dĂ©cida de raccrocher les crampons pour se concentrer exclusivement Ă l’horlogerie devenue sa nouvelle passion.
De 2007 à 2011, il a travaillé pour le compte de la Manufacture Roger Dubuis, à Meyrin, où il a été formé au poste de manager d’une équipe de production.
De 2011 à 2012, nous avons écrit son livre autobiographique (D’un cœur vide à une vie comblée).
Entre 2012 Ă 2020, il a occupĂ© le poste de chef d’atelier pour la sociĂ©té Romain Jerome oĂą il a beaucoup appris de Manuel Emch (CEO jusqu’à 2017). C’est Ă son contact et dans leurs discussions, dit-il, qui prenaient souvent la forme d’enseignements, qu’il a pu grandir dans le leadership.
Victor Ngolla